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【新视线教育】


南京法语导游培训班

南京新视线教育信息咨询有限公司是经国家工商总局、国家教育部、国家公安部批准成立的唯一一家集语言培训、翻译服务、文化产业与艺术产业于一体的民营教育单位,并与香港**方机构——香港外语教育协会联合办学。总部设在北京,分设董事会、监事会、总校办,下设语言事业部、文化事业部和艺术事业部。

其中语言事业部负责小语种培训以及游学咨询等资源整合项目的运营;文化事业部又下设国学、活动和文学中心,分别负责国学、拓训、旅游、冬夏令营、影视及舞台艺术剧本创作等资源整合项目的运营;艺术事业部又下设书画和展赛中心,分别负责书法、美术培训、书画展、舞台艺术策划等资源整合项目的运营。

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集团组织机构健全、精练、高效,自2007年成立以来,在“专注、专业、创新、创业、共赢”的核心价值观上,赢得了业界的尊重,取得了经济和社会效益的双突破。“南京新视线教育”已经成为中国颇具实力的“一站式”小语种培训专家、“一站式”文化服务专家和“一站式”艺术服务专家。

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【发展前景】


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需求不均有潜力

虽然政府加大了对小语种的投资力度,但小语种人才在整个中国市场上仍属于"稀有动物",各地分布明显不均。

外语类毕业生由于专业等原因,绝大多数的人"就大不就小,就高不就低",流向大中城市、沿海发达城市的比其他类别的毕业生更突出,尤其是小语种专业,以北京外国语大学的毕业生为例,尽管北京市对外地生源的留京比例调控在15%左右,但2002届该校的600多名毕业生中,离京去外省市的仅50多人,在北京工作的却有400余人。

鼓励“双枪”重在复合

语言与经济发展密不可分,随着改革开放和中国“入世”等一系列推动经济发展的契机的到来,中国的市场日渐国际化,各国客商也纷至沓来,可以预见,小语种人才将逐渐紧俏起来,这朵羞答答的玫瑰,将不再静悄悄地开。

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法语留学课程

南京法语导游培训班

开班日期:随到随学

总 课 时 : 90课时

课程班型:VIP一对四小班授课

上课时间:全日制(周一到周五半天)周末班(周六日/半天)晚班(周一-周日晚),还可以依据学员不同情况,特殊安排!

适学对象:法语零基础的学员或搁置已久的学员,适合留学、移民、国外工作、考级类学员。

课程内容:从**基础的发音和单词,可以掌握大约8000的词汇量,能够清晰地表达自己的观点,能够理解复杂文章的关键内容,能够听懂报告和演讲。掌握日常用语和简单句子、固定句型,能够进行自我介绍,回答有关个人基本信息。将可以对熟悉的话题进行简单、连贯的写作。您将可以描述经验、事件、理想愿望,并能对自己的意见或计划作出简略的解释。能够总体并自然的掌握语言并且能理解普通或者专业话题进行讨论。

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法语《茶花女》法语版第1章
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chapitre i :

mon avis est qu on ne peut créer des personnages que lorsque l on a beaucoup étudié les hommes, comme on ne peut parler une langue qu à la condition de l avoir sérieusement apprise. N ayant pas encore l âge où l on invente, je me contente de raconter.

J engage donc le lecteur à être convaincu de la réalité de cette histoire dont tous les personnages, à l exception de l héroïne, vivent encore. D ailleurs, il y a à Paris des témoins de la plupart des faits que je recueille ici, et qui pourraient les confirmer, si mon témoignage ne suffisait pas. Par une circonstance particulière, seul je pouvais lesécrire, car seul j ai été le confident des derniers détails sans lesquels il eût été impossible de faire un récit intéressant et complet.

Or, voici comment ces détails sont parvenus à ma connaissance. -le 12 du mois de mars 1847, je lus, dans la rue Laffitte, une grande affiche jaune annonçant une vente de meubles et de riches objets de curiosité. Cette vente avait lieu après décès. L affiche ne nommait pas la personne morte, mais la vente devait se faire rue d Antin, n 9, le 16, de midi à cinq heures.

L affiche portait en outre que l on pourrait, le 13 et le 14, visiter l appartement et les meubles. J ai toujours été amateur de curiosités. Je me promis de ne pas manquer cette occasion, sinon d en acheter, du moins d en voir.

Le lendemain, je me rendis rue d Antin, n 9.

Il était de bonne heure, et cependant il y avait déjà dans l appartement des visiteurs et même des visiteuses, qui, quoique vêtues de velours, couvertes de cachemires et attendues à la porte par leurs élégants coupés, regardaient avec étonnement, avec admiration même, le luxe qui s étalait sous leurs yeux.

Plus tard je compris cette admiration et cet étonnement, car m étant mis aussi à examiner, je reconnus aisément que j étais dans l appartement d une femme entretenue. Or, s il y a une chose que les femmes du monde désirent voir, et il y avait là des femmes du monde, c est l intérieur de ces femmes, dont les équipages éclaboussent chaque jour le leur, qui ont, comme elles et à côté d elles, leur loge à l opéra et aux italiens, et qui étalent, à Paris, l insolente opulence de leur beauté, de leurs bijoux et de leurs scandales.

Celle chez qui je me trouvais était morte : les femmes les plus vertueuses pouvaient donc pénétrer jusque dans sa chambre. La mort avait purifié l air de ce cloaque splendide, et d ailleurs elles avaient pour excuse, s il en était besoin, qu elles venaient à une vente sans savoir chez qui elles venaient.

Elles avaient lu des affiches, elles voulaient visiter ce que ces affiches promettaient et faire leur choix à l avance ; rien de plus simple ; ce qui ne les empêchait pas de chercher, au milieu de toutes ces merveilles, les traces de cette vie de courtisane dont on leur avait fait, sans doute, de si étranges récits.

Malheureusement les mystères étaient morts avec la déesse, et, malgré toute leur bonne volonté, ces dames ne surprirent que ce qui était à vendre depuis le décès, et rien de ce qui se vendait du vivant de la locataire.

Du reste, il y avait de quoi faire des emplettes. Le mobilier était superbe. Meubles de bois de rose et de boule, vases de Sèvres et de Chine, statuettes de Saxe, satin, velours et dentelle, rien n y manquait.

Je me promenai dans l appartement et je suivis les nobles curieuses qui m y avaient précédé. Elles entrèrent dans une chambre tendue d étoffe perse, et j allais y entrer aussi, quand elles en sortirent Presque aussitôt en souriant et comme si elles eussent eu honte de cette nouvelle curiosité. Je n en désirai que plus vivement pénétrer dans cette chambre. C était le cabinet de toilette, revêtu de ses plus minutieux détails, dans lesquels paraissait s être développée au plus haut point la prodigalité de la morte.

Sur une grande table, adossée au mur, table de trois pieds de large sur six de long, brillaient tous les trésors d Aucoc et d Odiot. C était là une magnifique collection, et pas un de ces mille objets, si nécessaires à la toilette d une femme comme celle chez qui nous étions, n était en autre métal qu or ou argent. Cependant cette collection n avait pu se faire que peu à peu, et ce n était pas le même amour qui l avait complétée. Moi qui ne m effarouchais pas à la vue du cabinet de toilette d une femme entretenue, je m amusais à en examiner les détails, quels qu ils fussent, et je m aperçus que tous ces ustensiles magnifiquement ciselés portaient des initiales variées et des couronnes différentes.

Je regardais toutes ces choses dont chacune me représentait une prostitution de la pauvre fille, et je me disais que Dieu avait été clément pour elle, puisqu il n avait pas permis qu elle en arrivât au châtiment ordinaire, et qu il l avait laissée mourir dans son luxe et sa beauté, avant la vieillesse, cette première mort des courtisanes. En effet, quoi de plus triste à voir que la vieillesse du vice, surtout chez la femme ? Elle ne renferme aucune dignité et n inspire aucun intérêt. Ce repentir éternel, non pas de la mauvaise route suivie, mais des calculs mal faits et de l argent mal employé, est une des plus attristantes choses que l on puisse entendre. J ai connu une ancienne femme galante à qui il ne restait plus de son passé qu une fille presque aussi belle que, au dire de ses contemporains, avait été sa mère. Cette pauvre enfant à qui sa mère n avait jamais dit : tu es ma fille, que pour lui ordonner de nourrir sa vieillesse comme elle-même avait nourri son enfance, cette pauvre créature se nommait Louise, et, obéissant à sa mère, elle se livrait sans volonté, sans passion, sans plaisir, comme elle eût fait un métier si l on eût songé à lui en apprendre un.

La vue continuelle de la débauche, une débauche précoce, alimentée par l état continuellement maladif de cette fille, avaient éteint en elle l intelligence du mal et du bien que Dieu lui avait donnée peut-être, mais qu il n était venu à l idée de personne de développer. Je me rappellerai toujours cette jeune fille, qui passait sur les boulevards presque tous les jours à la même heure. Sa mère l accompagnait sans cesse, aussi assidument qu une vraie mère eût accompagné sa vraie fille. J étais bien jeune alors, et prêt à accepter pour moi la facile morale de mon siècle. Je me souviens cependant que la vue de cette surveillance scandaleuse m inspirait le mépris et le dégoût.

Joignez à cela que jamais visage de vierge n eût un pareil sentiment d innocence, une pareille expression de souffrance mélancolique.

On eût dit une figure de la résignation. Un jour, le visage de cette fille s éclaira. Au milieu des débauches dont sa mère tenait le programme, il sembla à la pécheresse que Dieu lui permettait un bonheur. Et pourquoi, après tout, Dieu qui l avait faite sans force, l aurait-il laissée sans consolation, sous le poids douloureux de sa vie ? Un jour donc, elle s aperçut qu elle était enceinte, et ce qu il y avait en elle de chaste encore tressaillit de joie. L âme a d étranges refuges. Louise courut annoncer à sa mère cette nouvelle qui la rendait si joyeuse. C est honteux à dire, cependant nous ne faisons pas ici de l immoralité à plaisir, nous racontons un fait vrai, que nous ferions peut-être mieux de taire, si nous ne croyions qu il faut de temps en temps révéler les martyres de ces êtres, que l on condamne sans les entendre, que l on méprise sans les juger ; c est honteux, disons-nous, mais la mère répondit à sa fille qu elles n avaient déjà pas trop pour deux et qu elles n auraient pas assez pour trois ; que de pareils enfants sont inutiles et qu une grossesse est du temps perdu.

Le lendemain, une sage-femme, que nous signalons seulement comme l amie de la mère, vint voir Louise qui resta quelques jours au lit, et s en releva plus pâle et plus faible qu autrefois. Trois mois après, un homme se prit de pitié pour elle et entreprit sa guérison morale et physique ; mais la dernière secousse avait été trop violente, et Louise mourut des suites de la fausse couche qu elle avait faite.

La mère vit encore : comment ? Dieu le sait. Cette histoire m était revenue à l esprit pendant que je contemplais les nécessaires d argent, et un certain temps s était écoulé, à ce qu il paraît, dans ces réflexions, car il n y avait plus dans l appartement que moi et un gardien qui, de la porte, examinait avec attention si je ne dérobais rien.

Je m approchai de ce brave homme à qui j inspirais de si graves inquiétudes.

-monsieur, lui dis-je, pourriez-vous me dire le nom de la personne qui demeurait ici ?

-Mademoiselle Marguerite Gautier.

Je connaissais cette fille de nom et de vue.

-comment ! Dis-je au gardien, Marguerite Gautier est morte ?

-oui, monsieur.

-et quand cela ?

-il y a trois semaines, je crois.

-et pourquoi laisse-t-on visiter l appartement ?

-les créanciers ont pensé que cela ne pouvait que faire monter la vente. Les personnes peuvent voir d avance l effet que font les étoffes et les meubles ; vous comprenez, cela encourage à acheter.

-elle avait donc des dettes ?

-oh ! Monsieur, en quantité.

-mais la vente les couvrira sans doute ?

-et au delà.

-à qui reviendra le surplus, alors ?

-à sa famille.

-elle a donc une famille ?

-à ce qu il paraît.

-merci, monsieur.

Le gardien, rassuré sur mes intentions, me salua, et je sortis.

-pauvre fille ! Me disais-je en rentrant chez moi, elle a dû mourir bien tristement, car, dans son monde, on n a d amis qu à la condition qu on se portera bien. Et malgré moi je m apitoyais sur le sort de Marguerite Gautier.

Cela paraîtra peut-être ridicule à bien des gens, mais j ai une indulgence inépuisable pour les courtisanes, et je ne me donne même pas la peine de discuter cette indulgence.

Un jour, en allant prendre un passeport à la préfecture, je vis dans une des rues adjacentes une fille que deux gendarmes emmenaient. J ignore ce qu avait fait cette fille, tout ce que je puis dire, c est qu elle pleurait à chaudes larmes en embrassant un enfant de quelques mois dont son arrestation la séparait. Depuis ce jour, je n ai plus su mépriser une femme à première vue.

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